Jean Bloch a participé à la campagne de mai 1940 en tant qu’officier de renseignement au sein du 2ème Régiment de Carabiniers. Après la capitulation du pays, il participe aux opérations du périmètre de Dunkerque avec la 2nd A.A. Brigade Company R.A.S.C., puis gagne la Grande-Bretagne. Il compte parmi les premiers officiers à y organiser les Forces belges qui prennent part, dès septembre 1940, à la garde de côtes et d’aérodromes pendant la bataille d’Angleterre. Il exerce, entre autres, les fonctions de commandant de compagnie, de commandant de l’Unité-école de Tenby, d’adjudant-major et d’officier de renseignement, de reconnaissance et de liaison (1er et 2ème Bataillons belges, 6th Royal West Rgt., etc.). Il participe à la campagne de Normandie et à la libération du pays en tant qu’officier de reconnaissance et de liaison à la Brigade Piron et à la Guards Armoured Division. Il entre dans Bruxelles dès le 3 septembre au soir, l’un des premiers à libérer la capitale. Fait prisonnier au siège de Bastogne, il s’évade de Eichstätt en Bavière, pour terminer la campagne avec la 14ème Division blindée américaine.
Au lendemain de la guerre, Jean Bloch mène une brillante carrière dans les affaires et assure la présidence de nombreuses organisations et associations, parmi lesquelles le Consistoire Central Israélite de Belgique, dont il était le Président honoraire, et la Centrale d’Oeuvres Sociales Juives (Bruxelles), dont il était le Président d’Honneur.
Le Lieutenant-Colonel Honoraire Baron Jean Bloch était titulaire, entre autres, de la C.B.E. et de la Bronze Star U.S., Chevalier de la Légion d’Honneur et Grand Officier de l’Ordre de Léopold II. Il était Président d’Honneur de l’Union Royale Nationale des Evadés de Guerre et du Comité d’Action des Forces Belges de Grande-Bretagne et Outre-Mer, Président d’Honneur de l’Union Royale Nationale des Officiers de Réserve de Belgique et ancien Président de la Confédération Interalliée des Officiers de Réserve de l’Alliance Atlantique.
Il a été anobli par S.M. le Roi le 1er juillet 1991.
L’ensemble des membres de la Fondation de la Mémoire Contemporaine – Stichting voor de Eigentijdse Herinnering tient à rendre hommage à la mémoire du baron Jean Bloch pour les efforts qu’il a consentis afin que cette Institution – qui porta un temps son nom – voie le jour. Il en fut l’un des concepteurs. Il ne ménagea ni son énergie ni son aide pour en assurer la viabilité. Il fut actif au sein de son Conseil d’Administration et de son Bureau. Enfin, il contribua à enrichir son fonds de documentation par des dons multiples et à accompagner son programme de recherche.
Jean Bloch poursuivait une étude sur « la Communauté juive de Belgique et la Deuxième Guerre mondiale », dont une première version dans les deux langues nationales a été publiée dans le numéro 1 des Cahiers de la Mémoire contemporaine – Bijdragen tot de eigentijdse Herinnering.
Au lendemain de la guerre, Jean Bloch mène une brillante carrière dans les affaires et assure la présidence de nombreuses organisations et associations, parmi lesquelles le Consistoire Central Israélite de Belgique, dont il était le Président honoraire, et la Centrale d’Oeuvres Sociales Juives (Bruxelles), dont il était le Président d’Honneur.
Le Lieutenant-Colonel Honoraire Baron Jean Bloch était titulaire, entre autres, de la C.B.E. et de la Bronze Star U.S., Chevalier de la Légion d’Honneur et Grand Officier de l’Ordre de Léopold II. Il était Président d’Honneur de l’Union Royale Nationale des Evadés de Guerre et du Comité d’Action des Forces Belges de Grande-Bretagne et Outre-Mer, Président d’Honneur de l’Union Royale Nationale des Officiers de Réserve de Belgique et ancien Président de la Confédération Interalliée des Officiers de Réserve de l’Alliance Atlantique.
Il a été anobli par S.M. le Roi le 1er juillet 1991.
L’ensemble des membres de la Fondation de la Mémoire Contemporaine – Stichting voor de Eigentijdse Herinnering tient à rendre hommage à la mémoire du baron Jean Bloch pour les efforts qu’il a consentis afin que cette Institution – qui porta un temps son nom – voie le jour. Il en fut l’un des concepteurs. Il ne ménagea ni son énergie ni son aide pour en assurer la viabilité. Il fut actif au sein de son Conseil d’Administration et de son Bureau. Enfin, il contribua à enrichir son fonds de documentation par des dons multiples et à accompagner son programme de recherche.
Jean Bloch poursuivait une étude sur « la Communauté juive de Belgique et la Deuxième Guerre mondiale », dont une première version dans les deux langues nationales a été publiée dans le numéro 1 des Cahiers de la Mémoire contemporaine – Bijdragen tot de eigentijdse Herinnering.